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Visionnaire de l'invisible
La littérature

Correspondances
Marie-Anne Paliard - Sylvie Chappaz
(Auto-édition - 2007)

 

Les mystères de l’homme, de l’amour, de la souffrance…

 

 

 

 

Dans ‘Correspondance’, les poèmes de Marie-Anne Paliard et de la photographe Sylvie Chappaz nous font entrevoir les mystères de l’homme, de l’amour, de la souffrance…

 

 

 

Une quarantaine de poèmes de Marie-Anne Paliard sur des sujets variés de la vie quotidienne nous sont offerts comme des mets succulents qui nourrissent le regard et qui lui donne l’envie et la force  d’admirer l’invisible, le cœur de l’homme.

 

 

Sylvie Chappaz propose des photos prises dans le sahel. Son œuvre dit autrement les  mystères de l’homme, de l’amour, de la souffrance… mais en tournant son regard vers ‘l’autre’, sa manière de vivre, d’aimer, d’affronter la mort, de respecter la nature…

 

 

Si vous désirez entrer en contact avec les auteurs ou commander ce livre d’art qui renouvelle le regard sur la vie de ceux et celles que nous considérons souvent comme ‘les autres’:

manou.paliard@aliceadsl.fr
www.sylvie-chappaz.com

Janvier 2012, RP

 

Pour acquérir l'ouvrage : Le site de Sylvie Chappaz


Mail reçu de Marie Anne Paillard

J'ai quelques retours excellents de certains lecteurs qui se disent touchés et émus autant par les poèmes que par les photos. Il parait que mes mots aident des larmes retenues prisonnières depuis longtemps à sortir. La poésie a pour moi, un pouvoir libérateur et je n'ai livré mes émotions que parce que je pense que c'est en étant soi même qu'on permet aux autres de devenir eux-mêmes. Le témoignage est le premier geste du partage. Ainsi j'espère qu'en proposant à mes lecteurs d'entrer dans un monde trop souvent clos, ils accéderont à cette partie d'eux mêmes où niche le mystère de leur vie. J'ai admiré une fois de plus que Sylvie qui s'accroche à son incroyance avouée, accepte de travailler avec moi sur ce projet dont la foi en une réalité qui nous dépasse et nous transcende est le coeur même. J'ai situé les poèmes qui l'expriment de manière explicite au centre du livre que j'ai construit comme une démarche lente et douloureuse depuis les petites choses de la vie de tous les jours jusqu'à la plongée dans la mort et sa souffrance pour découvrir en soi les ressources de l'être à se renouveler afin de repartir et aller vers les autres. Marie partant en visite chez Elisabeth pour la rejoindre et lui dire son amour dans un moment qui n'a pourtant pas du être facille, est pour moi la représentation même du témoignage de la foi. A partir de cet oubli de soi pour rencontrer les autres tout devient possible, car c'est là que Dieu se dit, au coeur même de nos vies: l'enfant tressaille dans le sein d'Elisabeth comme la parole de Dieu tressaille en nous. C'est en nous que Dieu établit sa demeure et fort de son amour nous pouvons repartir vers la vie qui nous attend et rejoindre nos frères dans tous leurs déserts...

Je ne sais pas du tout si ma démarche est perceptible. Je n'ai pas voulu l'expliquer laissant à mon livre la possibilité de faire son" oeuvre " à son rythme et surtout au rythme de mes lecteurs. La première que j'ai respectée part mon silence est Sylvie.

Février 2012 - Marie Anne Paillard

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